Pour ce faire, quatre faisceaux de signaux faibles (30+ au total) ont été agrégés en amont de la journée, afin de projeter les participants dans une collection d'indices, parfois contradictoires, plus ou moins encourageants, sur le futur du spatial.
Chaque équipe, ainsi projetée dans son faisceau d'indices, a pu ainsi dans la journée imaginer une protopie — un futur souhaitable — pour le spatial.